Et pourquoi à la FMF ?
Dans cette rubrique, chaque adhérent peut essayer, s’il le désire, d’exprimer sa réponse à ces questions, parce qu’à la FMF il n’y a pas une « bonne réponse », il y a des personnes qui souhaitent défendre une médecine libérale vivante et de qualité !
L’essence même de notre profession reste indissociable de son système de remboursement des soins : nous ne pouvons donc pas exercer sans fréquenter de très près les CPAM locales. Il me parait tout aussi important de connaître les bêtabloquants que le Système qui régit notre profession !
Je suis syndiqué parce que défendre notre profession de terrain c’est défendre nos patients.
Thomas JAN
Pour moi être syndiquée c’est être mieux informée, plus entourée en cas de conflits avec nos instances, mettre en commun des idées , faire évoluer et défendre notre beau métier.
Corine FARCY
J’ai adhéré il y a une quinzaine d’années à un syndicat pour mieux défendre les intérêts de la profession de médecin libéral. Pendant quelques années, j’étais inconstante dans mon renouvellement d’adhésion, ne me retrouvant pas vraiment dans les revendications exprimées par les responsables.
Puis, en 2022, lors des négociations conventionnelles, j’ai pensé qu’il fallait que nos syndicats aient du poids face aux instances politiques et de la CNAM, j’ai donc souhaité à nouveau me syndiquer. J’ai alors beaucoup apprécié les compte-rendus très détaillés des négociations conventionnelles par Richard Talbot. Enfin de la transparence dans ce qui se jouait au plus haut sommet ! De plus, les revendications portées par la FMF correspondaient à mes attentes en tant que médecin généraliste.
Mon choix s’est confirmé par la suite, avec des informations régulières sur le site très pertinentes pour notre pratique, l’assurance d’un soutien d’un confrère en cas de souci, des revendications qui me paraissent justes et un esprit constructif.
Cécile Lefebvre
Pour faire simple, pour moi ce serait plutôt un truc du genre » l’union fait la force ». L’idée quand j’ai adhéré au syndicat était plutôt de donner plus de pouvoir aux représentants syndicaux au moment des négociations avec la Caisse et autres représentants de l’État après la crise COVID.
Aurore
Moi, je suis syndiqué car c’est important de ne pas rester seul quand on a des soucis, je suis syndiqué pour donner l’aide que j’aimerais avoir en cas de problème.
J’ai choisi la FMF car on peut y parler librement, donner son avis ; qu’il s’agit d’un syndicat polycatégoriel car j’ai bien compris la tactique du gouvernement et de la caisse depuis des années « diviser pour mieux régner »
Hervé Feuillette
Rôle d’information, de formation, de soutien, de défense des confrères, rôle de négociations, de dialogue, de défense de la profession auprès des instances d’état … J’y rencontre des confrères dont l’engagement pour la cause collective et les causes individuelles me confond d’admiration.
- Parce que les temps sont durs. La maltraitance institutionnelle ne cesse de croître : injuste, démoralisante, écrasante. Face à cela, je ne vois qu’une solution : se regrouper pour ne pas subir, pour résister, pour avancer ensemble.
- Parce que j’ai compris qu’avoir accès à une information fiable et complète est essentiel. Être bien informé, c’est être mieux armé.
- Parce que le collectif compte. Le « travailler ensemble » et le « vivre ensemble » sont des valeurs qui me portent et me motivent chaque jour.
- Parce que j’ai découvert qu’un dialogue existe entre les caisses et nous, notamment grâce aux syndicats en commissions paritaires. Avant cela, mes démarches auprès des délégué·e·s de l’assurance maladie n’aboutissaient à rien de concret.
Pourquoi la FMF ?
- Parce que l’information y est non seulement fiable et complète, mais aussi décryptée et analysée par des personnes que j’admire pour leur intelligence, leur honnêteté et leur disponibilité.
- Parce que c’est un syndicat pluricatégoriel. Comprendre ce que vivent mes confrères d’autres spécialités et les soutenir est, pour moi, essentiel.
- Parce que j’ai constaté que le slogan « 1 adhérent = 1 voix » est bien réel. Ici, chacun a la possibilité de s’exprimer, de participer et de se positionner. Ce n’est pas juste suivre le mouvement ou crier avec la meute, c’est réfléchir, s’engager et défendre activement ses convictions. Même comme je suis avec mes doutes et mes peurs !
Olivier MICHEL